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CHAPITREN°2
L’étatdes lieuxcomparéde l’o red’accueilde lapetiteenfanceenCharente-Maritime
Lapolitiqued’accueilde lapetiteenfancevuepar lesprincipauxacteursdesamiseenœuvre
Saintonge en particulier). L’o re d’accueil dans ces territoires repose très
majoritairement sur l’accueil individuel (assistants maternels). La Caisse
d’Allocations Familiales de la Charente-Maritime et ses partenaires cherchent
donc à développer les RAM
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en milieu rural pour permettre aux assistants
maternels de sortir de leur isolement ainsi que pour garantir une information
able, tant pour les parents que pour les assistantsmaternels. Ainsi, il y avait
11RAMen2007dans ledépartement ; il yena24en juin2012
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.
2 -Desbesoinsclassiquesplutôtbiencouvertsmaisune ort
à fairepourcouvrir lesbesoinsatypiques
Selon laCAF, l’o red’accueilactuellerépondauxbesoinsclassiquesdes familles.
En revanche, il importe désormais, selon cette dernière, de développer des
réponses auxbesoins spéci quesdes familles (notamment en cequi concerne
leshorairesatypiques).Desassociationscomme l’UDAF
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ou«Do l’enfantdom»
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sont soutenues nancièrement par les institutions (CAF, Département, Villes)
pour développer de la garde à domicile en horaires décalés. En e et, la CAF
considère que la complémentarité des dispositifs d’accueil est indispensable
pour répondreauxbesoinsduplusgrandnombrede familles.
En outre, la CAF de la Charente-Maritime cherche également à renforcer
l’informationdes familles.
Certains professionnels de PMI témoignent de la di culté des familles pour
trouver des places, notamment celles qui ont des petits besoins de garde car
les crèchespréfèrent accueillir lesenfantsà la semaine, par facilitédegestion.
Ainsi, alors que l’accueil extra-familial peut être béné que, notamment pour
les enfants de familles endi culté (éveil, hygiène, socialisation, enparticulier
dans les structures collectives) et bien que les magistrats le recommandent
régulièrement lorsqu’ils sont saisis des di cultés d’une famille, les travailleurs
sociaux ont beaucoup de mal à trouver des places pour ce type de public,
notamment en crèche. Le manque d’o re de proximité en est la principale
raison.
Actuellement, ce type d’accueil se fait au cas par cas, notamment avec les
professionnels de PMI qui accompagnent ces familles pour appuyer leurs
demandes.
15.Relaisd'AssistantsMaternels
16.La couverture territorialen’est toutefoispas complète.
17.Via le serviceNounoudomproposé sur l’agglomération rochelaise
18.Le service intervient sur le territoirede laCommunautéd’AgglomérationduPaysRochefortaiset sur celui de laCommunauté
d’AgglomérationRoyanAtlantique.
