Bilan de la concertation 45 LA NÉCESSITÉ D’AVOIR UNE APPROCHE MULTIMODALE SUR LES QUESTIONS DE MOBILITÉ Une part importante des contributeurs estime que ce projet routier ne peut pas être déployé seul et qu’il convient de prendre nécessairement en compte les autres modes de déplacement : La nécessité de renforcer les liaisons douces entre Marans et les communes voisines ; La nécessité d’améliorer les conditions de circulation des cycles et des piétons en centre-ville de Marans. Le renforcement des transports en commun et de la complémentarité modale, via le train notamment, est également souhaité. LA PRISE EN COMPTE NÉCESSAIRE DES IMPACTS SUR LE MONDE AGRICOLE En parallèle de l’attente de voir le projet se réaliser, les contributeurs font part de quelques inquiétudes sur ses impacts potentiels, notamment sur les parcelles agricoles qui seront directement touchées par le tracé. Au-delà de la problématique de la consommation de la surface agricole, il est demandé au Département une vigilance particulière sur la bonne prise en compte du maintien des accès pour ces exploitants agricoles. UNE ÉCHELLE DE PROJET JUGÉE INSUFFISANTE POUR CERTAINS Quelques contributions estiment que le projet n’est pas abordé à la bonne échelle et devrait faire l’objet d’une approche interdépartementale voire inter-régionale, citant le projet autoroutier abandonné d’A831 qui leur apparaissait comme étant la bonne solution. D’autres estiment nécessaire de devoir envisager des travaux sur la RD 9 avec un réaménagement du Pont du Brault, voire une mise à 2x2 voies de cet axe. PEU D’EXPRESSIONS SUR LA PRÉSERVATION DE L’ENVIRONNEMENT Quelques contributeurs soulignent la nécessité de préserver le Marais Poitevin qui constitue une zone fragile, et de bien prendre en considération dans la conception du projet la présence d’espèces endémiques sur le territoire.
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