Bilan de la concertation 40 Réponse du Département : Concernant le type de route, l’étude de trafic réalisée dans le cadre de l’opération projette un trafic sur la voie nouvelle de contournement d’environ 7900 véhicules MJA (moyen journalier annuel) à la mise en service. Ce trafic ne justifie pas l’investissement dans une 2x2 voies. Une route bidirectionnelle sera parfaitement adaptée pour ce niveau de trafic. UN PARTAGE NÉCESSAIRE DU COÛT DU PROJET Plusieurs avis émergent. Pour certains l’Etat doit intervenir pour ne pas laisser les territoires locaux assumer seuls ces coûts d’aménagement ; d’autres estiment qu’il faut étudier la possibilité de partager les coûts avec le Département de la Vendée si le contournement se prolongeait de l’autre côté de L’Ile d’Elle ; d’autres encore indiquent que le coût du contournement ne doit pas être assumé par les seuls Marandais : le Département et la Région doivent intervenir ; enfin, une autre interrogation émerge : quel sera l’impact sur les impôts des habitants ? Réponse du Département : Le Département de la Charente-Maritime est le principal financeur du projet de contournement de Marans, projet estimé à 60 millions d’euros. La Communauté de communes Aunis Atlantique et la Ville de Marans participent également financièrement à ce projet. L’Etat, à travers son engagement au titre de l’ancien projet A831, a réitéré sa participation financière au projet de contournement de Marans. 7- Activité agricole (15 contributions) DES EXPLOITATIONS DIRECTEMENT IMPACTÉES Dans l’ensemble, le souhait majoritaire est que le projet impacte le moins possible les terres agricoles. Plusieurs situations personnelles sont évoquées : le regret partagé de voir disparaître l’exploitation « la Chèvrerie » ; la proposition d’étudier un remembrement parcellaire à l’échelle du canton pour une exploitante dont les terres sont situées entre deux cantons. LES DÉPLACEMENTS DES ENGINS AGRICOLES EN QUESTION Comme évoqué plus haut, des personnes s’interrogent sur l’accessibilité du centre-bourg aux convois agricoles quand cela est nécessaire. Pour un trafic plus fluide, un contributeur suggère de déplacer le dépôt de grain en centre-bourg dans la plaine Saint-Jean-de-Liversay.
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