Bilan de la concertation 34 Le choix de l’option la plus à l’Est Des contributeurs expriment leur désaccord avec le tracé privilégié et proposent un tracé différent, mais toujours à l’Est. 4 participants se déclarent plutôt favorables à la variante la plus à l’Est présentée dans le dossier de concertation. Parmi les arguments avancés : Le tracé passerait moins près des habitations ; Il permettrait de laisser plus de place à une potentielle urbanisation ; Les impacts sonores seraient moins importants. Réponse du Département : A l’intérieur du faisceau Est de variantes, la variante de tracé la plus à l’Est n’a pas été retenue : si certaines contributions ont estimé qu’elle permettrait de ne pas freiner l’urbanisation future de Marans, il convient de rappeler que c’est le PLUi qui encadre les débats sur l’urbanisation. De surcroît, la récente Loi Zéro Artificialisation Nette (ZAN) de juillet 2023 contraindra également toute nouvelle construction. Ce faisant, la surface à urbaniser sur la Ville de Marans sera vraisemblablement à l’avenir réduite et recentrée autour du cœur de Marans. La solution de tracé la plus à l’Est, du fait de son impact plus conséquent sur les parcelles agricoles et sur le grand paysage, n’apparaît de fait pas pertinente. Le choix de tracés contournant L’Ile-d’Elle Plusieurs propositions visant à contourner L’Ile d’Elle sont également avancées : Continuer le long du Bot Courant pour contourner L’Ile-d’Elle ; Relier Fontenay-le-Comte vers Saint-Jean de Liversay au nouvel aménagement de Ferrières d’Aunis ou à la RD 114 pour contourner L’Ile d’Elle et ajouter un couloir de bus pour Fontenay le Comte - La Rochelle. Réponse du Département : Le Département rappelle l’historique l’ayant amené à étudier ce projet de contournement « court » de Marans : abandon de la liaison à 2x2 voies entre Sainte-Hermine et La Rochelle, puis du projet autoroutier entre Fontenay-Le-Comte et Rochefort A831 (cf. réponses précédentes). Il est également précisé qu’une solution de contournement intégrant également L’IIe d’Elle ne tiendrait pas compte du flux en provenance du Nord de Marans, ce qui représenterait environ la moitié du flux. Cette solution n’apporterait qu’une réponse partielle à la problématique soulevée.
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